Resto d'Application

 
la_goelette.jpg

En raison de la crise sanitaire,

le Restaurant Pédagogique n'est plus accessible aux personnes extérieures à l'établissement scolaire.

Sandwicherie

logosandw2.png

 ↑  
Restaurant Scolaire
Relations Ecoles/Entreprises
 le-lycee-professionnel-d-oignies-n-a-p-1875853_jpg.jpg




Le lycée professionnel d'Oignies n'a plus de secret pour le recteur

jeudi 03.09.2009, 04:46 - La Voix du Nord


Le recteur (au centre) est sorti très enthousiaste de la visite dans l'établissement.
| RENTRÉE SCOLAIRE |

Hier, c'était aussi la rentrée pour le recteur d'académie qui était en visite dans trois établissements scolaires de la région. Parmi eux, le lycée professionnel d'Oignies qui n'a rien caché de ses équipements. La visite aura donc été complète pour Bernard Dubreuil qui a plusieurs fois évoqué la réforme du bac pro (en trois ans), tout en s'émerveillant devant la qualité des salles de formation oigninoises.
PAR ANNE-CLAIRE GUILAIN

Le recteur Bernard Dubreuil est attendu dans le hall du lycée Joliot-Curie. 10 h 45. Toujours pas de recteur. « Il y a des bouchons sur l'A21, il doit être coincé », s'excuse son attachée de communication. Mais la délégation qui l'attend ne s'impatiente pas et tente de s'imaginer la visite. « Je pense que l'on va parler de la réforme du Bac Pro 3 ans. Vous savez, le BEP disparaît. Avant, il y avait deux ans de BEP et deux ans de Bac pro, désormais, les élèves s'engagent directement pour trois ans de bac pro. De 2 + 2 on passe à 3 », explique la proviseure Lise Descamps. Une réforme qui explique les derniers ajustements dans l'organisation de l'établissement pour cette rentrée 2009. « C'est une période de transition où les deux systèmes (le BEP-Bac pro et le Bac pro 3 ans) cohabitent. Pour faire les emplois du temps, c'est un vrai casse-tête », reprend la chef d'établissement qui se garde bien de donner son opinion sur cette réforme (« on attend l'installation, avec les nouveaux référentiels ») quand d'autres avouent un « avis partagé ».
10 h 50. Bernard Dubreuil est là, dans le hall. La visite peut commencer. Passage par le bureau de Lise Descamps, dont le dossier estampillé Grippe A trône sur le bureau. Mais de grippe A, il n'en sera pas question lors de cette visite. Le recteur, dont c'est une première sur le sol oigninois, découvre avec enthousiasme les équipements du LP. « Ici, on fait des kilomètres tous les jours », explique Mme Descamps après une remarque du recteur sur l'espace et la beauté de l'établissement. « On est un peu fatigués en fin de journée », sourit-elle. Mais les kilomètres n'empêcheront personne de faire le tour des salles.
La formation « Hygiène des locaux » d'abord où se côtoient tous les revêtements pour mieux apprendre à les lustrer. « C'est un secteur très porteur, beaucoup plus technique qu'on se l'imagine », commente la proviseure. Passage par l'atelier de structures métalliques où se mêlent les savoir-faire technique et artistique. Direction l'étage dans la salle de vente où un magasin est reconstitué, puis en sanitaire et social, seule filière où le BEP survit « mais pour combien de temps ? » s'interroge le recteur. Retour au rez-de-chaussée pour visiter La Goëllette, un restaurant pédagogique où l'on enseigne la cuisine de collectivité. Détour non prévu par l'électricité, et voilà la délégation de nouveau dans le hall.
« Un challenge »
« C'est un très bel établissement qui donne une image forte et attractive des formations professionnelles », conclut alors Bernard Dubreuil. Cette rentrée, le recteur a évidemment voulu l'axer sur les lycées professionnels avec la réforme du Bac pro. Lise Descamps avait vu juste. « C'est une grande rénovation dont l'objectif est de simplifier le système, poursuit le recteur. Avant, il fallait avoir l'examen du BEP pour passer en Bac pro. Du coup, il n'y avait au final que 25 % de bacheliers. Cela avait ses limites alors que nos jeunes ont du talent et des capacités. Et de plus, on sait que le meilleur sésame vers l'emploi, c'est le diplôme. » Alors que le nombre d'inscrits en LP diminue au profit des filières générales et techniques, Bernard Dubreuil encourage la qualification professionnalisante. « Trop de jeunes abandonnent, sortent sans qualification. Nous voulons les encourager à rester ». Il a décrit cette nouvelle réforme comme « un challenge, un enjeu de taille », avec son lot de difficultés. Mais ce challenge, le lycée Joliot-Curie et ses 850 élèves sont visiblement prêts à le relever en cette nouvelle année scolaire.

Date de création : 07/12/2009 @ 13:30
Dernière modification : 17/07/2010 @ 22:17
Catégorie : - Année scolaire 2009/2010
Page lue 11508 fois

Visites

 65186 visiteurs

 7 visiteurs en ligne

Accédez à :
PRONOTE.jpg

E.N.T.

Accédez à votre Espace Numérique de Travail


ENT.jpg

Ecole-Entreprise

Ouverture d'une Section
ELECTROTECHNIQUE
en Apprentissage
(expérimentation nationale)

Cliquer ICI
electro2.png

Voir la plaquette de présentation
du projet


------------


Accéder au site

"Clubster Ecole-Entreprise"

bandeau_2014.png

Taxe d'apprentissage

images.jpeg